En matière d’anticipation et d’organisation, par grand froid, les Québécois sont rodés : déneigeuses de compétition, bâtiments surchauffés, messages d’alertes fréquents, dispositifs de protection
des sans-abri… Lorsque le mercure descend sous la barre des – 30 °C et que le vent s’en mêle pour avoisiner des températures ressenties de – 35 à – 40, mieux vaut être bien
préparé et bien équipé.David Imbeault et Mélissa Serrano, deux jeunes Québécois travaillant à Paris à la Fédération France Québec/francophonie témoignent. « Au Québec, on a paradoxalement
moins froid qu’en France ! », soutient David. « Parce que les bâtiments sont mieux chauffés (les tarifs de l’hydroélectricité sont très bas au Québec) et qu’on est mieux équipés. »
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